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Les numéros de Meta se construisent essentiellement au sein du Département de linguistique et de traduction de l’Université de Montréal. Trois doctorants effectuent la mise en page selon la feuille de style – que vous savez particulièrement exigeante – et toutes les communications avec les auteurs et évaluateurs sont assurées par l’assistante à l’édition principale. Celle-ci assure la gestion matérielle de la revue en coordination avec le directeur, hormis les aspects pris en charge par les PUM. L’ensemble des tâches comprend donc : la correspondance avec les contributeurs (de la soumission à l’acceptation) et avec les examinateurs, la relecture et la première révision linguistique des textes, la préparation de copies, l’intégration des corrections suggérées par la réviseure des PUM, l’envoi des exemplaires gratuits aux auteurs, etc. L’assistante assure aussi la mise à jour de la riche base de données. C’est dire si son rôle est crucial. Or, Eve-Marie Gendron-Pontbriand, qui assurait ces fonctions depuis plus de dix ans, nous a quittés en janvier pour entamer sa vie professionnelle. Elle était la mémoire vive de Meta, ce qui nous a laissés amnésiques ! Le retard dans la publication du numéro 66(3) et de celui-ci, 67(1), s’explique par une transition difficile. Heureusement, nous avons trouvé, en la personne de Séverine Lovisi, une remplaçante dévouée et efficace. Mais longtemps encore nous regretterons l’engagement, l’efficience et le professionnalisme d’Eve-Marie. Qu’elle en soit très sincèrement remerciée.

Nous entamons l’année 2022, moins confinés, mieux protégés et bien décidés à faire rayonner la revue, par un numéro spécial : Pour de nouvelles méthodes en traductologie quantitative / Exploring New Methods in Quantitative Translation Studies. Les directeurs, Meng Ji et Michael Oakes, ne sont plus à présenter. Leurs nombreuses publications, individuelles et collectives, dans le domaine, font loi. Leur numéro comporte dix textes : une introduction étoffée et neuf articles de fond. Je n’en dirai pas plus, mais je leur laisse la parole en les remerciant de leur travail.

Bonne lecture !